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L'introduction. L'objet de la syntaxe. La proposition simple Исполнитель


L'introduction. L'objet de la syntaxe.  La pr~.doc
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L'introduction. L'objet de la syntaxe.  La proposition simple  

                                    Plan:

1.  Les marques essentielles de la propostion simple.

2.  La notion des liens syntaxiques.

3. La caractéritique des types structurels de proposition simple.

     4. Classification des phrases complexes.

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5.1. A la difference de la morphologique qui etudie les mots du point de vue de leurs formes grammaticales, la syntaxe à pour but d'étudier les fonctions des mots et leurs rapports les uns aux autres.

Donc, la syntaxe étudie d'une part les fonctions des mots et leurs liens; d'autres part, les unités dans lesquelles ces fonctions et ces liens se réalisent et qui sont appelées  "unités syntaxiques".

II у a deux unités syntaxiques: le groupe de mots et la proposition simple (phrase complexe). La différence principale entre le groupe de mots et la proposition consiste en ce que la proposition remplit la fonction communicative dont le groupe de mots est privé.

Les linguistres sont unanimes à affirmer que la fonction primaire de la proposition est la fonction communicative. Cette opinion est émise actuellement par certain linguistes étrangers aussi. Ex. C. Bureau: “la phrase n'a d'autres fonctions que la fonction même de communication; C'est là une fonction sociale non une fonction linguistique" ( Bureau 1978 p. 123).

Sur le plan linguistique, la proposition représente une unité prédicative alors que le groupe de mots est une unité non prédicative.

Le caractère prédicatif de la proposition s'exprime en ce que son contentu est toujours caractérise de deux points de vue: modal et temporel.

A comparer: groupe de mots: Ex. La balle rouge;   partir comme une flèche; lire des journaux.

Proposition: La balle est  rouge;  Il  partit comme une flèche; il veut  lire des journaux.

Le rapport entre les groupes des mots et les propositions est traité différentement. Il existe le point de vu selon lequel le groupe de mots représente une unité syntaxique primaire par rapport à la proposition, la quelle se forme à la base des groupes des mots. Par ex. la proposition : Mon oncle Jules devint très vite mon grand ami.  Ici combinaison de 3 groupes des mots : 1- Mon oncle Jules, 2-devint très vite, 3- mon grand ami. Ce pendant il у a des propositions qui ne sont formées à la base des groupes de mots : La nuit. Silence. Pas de problèmes. Les propositions de cette espèce se composent d'un seul mot significatif tandis que le groupe de mots se compose toujours de deux mots significatifs: La nuit sans lune. Groupes de mots se divisent en deux groupes :

1. Les groupes de mots libres. Les éléments faisant partie de ces groupes sont remplaçables et le mot subordonné peut avoir des compléments :

Lire un livre, lire des vers. Acheter un livre,  écrire des vers.

2. Les groupes de mots figés. Les éléments qui font partie de ces groupes ne sont pas remplaçables sans restriction. Ainsi les verbes: avoir, faire, prendre, perdre, tenir, employés sans article: faire partie, prendre part, prendre connaîssence, faire attention, faire la chambre, faire sa toilette etc.

5.2. Les marques essentielles de la proposition en tant qu'unité syntaxe.

La difficulté de définir la proposition s'explique non seulement par la complexité du phénomène, mais aussi par le fait que lès linguistes, en déterminant la proposition, s'appuient sur des critères différents. Jusqu'à présent il у en a des points de vue différents voir opposés sur la nature de la proposition.

Actuellement, tout le monde s'accorde à dire que la proposition doit être déterminée à partir des indices linguistiques. Mais quels sont ces indices linguistiques? Les réponces à cette question sont diffèrentes.

Pendant longtemps on a consideré la proposition comme unité dont la marque principale est le sens. Ainsi, la définition la plus répendue de la proposition était la suivante: "la proposition est un ensemble de mots, un groupe de mots liés grammaticalement et exprimant un sens complet."

Pour d'autres linguistes la marque principale de la proposition de l'intonation, qui distingue la proposition des autres unités linguistiques.

D'après la majorité des grammairiens, 1'indice essentiel de la proposition est la fonction prédicative ( Gak V.G. p. 51).

Laquelle de ces marque est la plus importante?

La prédicativite représente la marque la plus générale et la plus importante de la proposition.. Elle (la predication) est le rapport qui s'établit entre le contenu de la proposition et la réalité objective.

Le rapport prédicatif se réalise seulement dans la proposition et comme le fait remarque l'academicien V. V. Vinogradov, la prédicativite forme une limite tranchée entre la proposition et le groupe de mots.

Les catégories du temps, du mode et de la personne, constituant la prédicativité sont exprimées plus nettement dans les formes personnelles du verbe : Je lis le journal français, tu as lu le journal français, il va lire le journal français, qu'elles lisent le journal français, nous aurions lu le journal français

 II faut noter le rôle de l'intonation. Le problème très controversé relatif à la proposition est celui du rapport entre l'intonation et la structure grammaticale de la proposition.

Beaucoup de linguistes considèrent l'intonation comme la marque essentielle de la proposition, marque fait partie de sa structure.

5.3. Les types de proposition simple.

Les principes du classement de la proposition. II existe plusieures classements de la proposition simple, bases sur des critères différents. Les principaux d'entre eux sont: 

1) le but communicatif de la proposition;    2) sa structure grammaticale.

D'après le premier critère on distingue trois types de proposition: 1) la proposition énonciative.2) La proposition interrogative 3) la proposition impérative.

La caractéristique des types communicatifs de proposition. En français  chacun de 3 types communicatifs a ses marques particulières et se caractérise dans la langue orale par une intonation particulière.

1. La proposition énonciative. Elle contient l'énonciation d'un fait, positif ou négatif.

On appelle énonciative les propositions à 2 ou à un terme qui serve à informer l’interlocuteur d'un fait:  ex. Pierre alluma la première cigarette de la journée. La pluie tombait toujours.

Les propositions énonciatives sont très variées du point de vue de leur structure: Elles peuvent être à 2 termes et à 1 seul terme, nominales et verbales, developpées et non développées, affirmatives et négatives. II est note que la construction négative en français est polycémique en ce sens qu'une même forme de négation peut porter sur des termes différents. Ainsi la proposition: Pierre n'a pas tué le serpent,  peut avoit 3 significations 1) He Пьер убил змею. 2)Пьер убил не змею. 3) Пьер не убил змею.

2. La proposition intérrogative. Cette proposition sert à exprimer une question posée par le locuteur à son interlocuteur ou à lui-même. Elle se caractérise par des marques grammaticales spécifiques qui la distinguent des autres types communicatifs: 1) L'inversion du sujet pronominal: l'avait-il dit? Ne l'avait-il pas dit? II ne savait plus.

2) La reprise du sujet nominal: Les étudiants viennent-ils à l'Université?

3) La formule intérrogative est-ce que devant le sujet: Est-ce que vraiment vous êtes heureux?

4) Les mots (pronoms et adverbes) intérrogatifs: Que venez-vous faire à Tachkent? Pourquoi vous me parlez sur ce ton?

Les propositions intérrogatives sont divisées généralement en 2 types: 1- celles qui expriment l'intérrogation totale. 2- celles qui exprimes l'intérrogation partielle.

Dans le premier type, la question porte sur la totalite de l’énоnсéе , c'est à dire celui qui parle demande à son interlocuteur si une action a lieu ou non. Ce genre de proposition ne contient pas de mots interrogatifs et la réponse à ce type de question se construit avec les mots oui ou non :

-  Oui madame , c'est ici.

- A l'aide de la formule: - n'est-ce pas?

- Et toi, tu n'a pas fait le devoir aussi, n'est-ce pas? -A I'aide de l'intonation :

- Vous aimez la valise? Sa mère est veuve?

Dans le deuxième type, la question porte sur le sujet et les termes secondaires. L'interrogation partielle est exprimée au moyen des mots interrogatifs, notamment les pronoms et les adverbes.

Qu'est-ce que vous en pensez, Mr. Roulin?

Où est-elle maintenant?

Quand doit-il repartir pour Paris?

Pourquoi tu me parles de cette individue?

 3. La proposition impérative. Elles sont celles qui marques un ordre, un souhait, un conseil,  une  suggestion.   Dans  la  proposition  impérative  le   sujet  impose  à  son interlocuteur une action déterminée sous des formes différentes: (1'ordre, le conseil, la défense, la prière).

Laissez-moi passer, dit-elle très calme.

Ne pas fumer. Silence! En avant!

Allez-y demain. N’en parlons plus.

Laissez-moi passer, dit-elle très calme. Ne pas fumer. Silence! En avant!  Allez-y demain. N'en parlons plus. Laissez la porte ouverte.

La caracteristique des types structures de proposition.

Ici nous allons parler de la structure de proposition. L'academicien A.A. Chakhmatov a relevé 2 types de propositions simples dans la langue russe: 1) proposition à deux termes;   2) propositions à un seul terme. II у a eu par la suite beaucoup de discussions à ce sujet. Certains linguistes refusaient de reconnaître l’existence des propositions à un terme, en affirmant qu’une vraie proposition doit contenir termes essentiels.

A present, la plupart des luinguistes soviétiques acceptent le classement de A. A.Chakhmatov, en у apportans certains modifications. Mais on n'est pas d'accord en qui concerne la nature du terme essentiel de la proposition à un terme. Les uns prétendent, en parlant de la forme, qu'il s'agit d'un sujet (employé sans prédicat) ou bten d'un prédicat (employé sans sujet): рассветает (светает, мороз), морозит. D'autres estiment qu'en ne peut dégager dans ce type de proposition ni sujet ni prédicat.

1. La proposition à un terme.

Le classement des propositions à un terme est basé le plus souvent sur la nature morphologique du terme essentiel. D'après ce critère, les propositions monorèmes sont  divisées en trois groupes: nominales, verbales, adverbiales.

Les propositions nominales dont le terme essentiel est un substantif sont les plus variées quant à leur valeur sémantique et modale, on appelle: ce sont des morphèmes de proposition:

Exemple: journées courtes, longues nuits.

Premier vendredi de decembre.

Premier gel.

Deux lettres au courrier: une de Pierre, d'autre de Paul.

Mercredi, plus rien; Pas de salle de bains, pas de cabinet de toilette.

Voila l'hiver, mon cher ami.

La belle affaire! Incroyable! Impossible! Reposez-vous!

Cette proposition contient, à la différences des monomorphèmes, deux termes essentiels: sujet et predicat. Tous les deux sont nécessaires pour former la base prédicative de la proposition. Les propositions dirèmes sont divisées assez souvent en deux types: verbales et nominales. Ex. La vitre etait ouverte. Karime est medecin. II parle français.

Les termes de proposition et les liens syntaxiques.

La notion de terme de proposition.

La proposition simple, même la proposition à un terme se compose le plus souvent de plusieurs éléments qui sent dèfinis généralement comme «terme de proposition». On appelle "termes de proposition" les éléments constitutifs de la proposition exprimés par les mots indépendants et qui sont en rapport syntaxique et sémantique les uns avec les autres. Les termes de proposition peuvent être représentes par formes grammaticales flectives et analytique les mots pleins: les journaux, nous partons, nous sommes partis ; par les locutions toutes faites; avoir sommel ; par la réunion des mots utils avec les mots indépendants;  II est professeur, je dois partir.

Les termes de propositions sont divisés en deux catégories :

1.Les termes essentiels (sujet, prédicat, terme essentiel de la proposition monorème).

2. Les termes secondaires (toutes sortes de compléments).

La notion des liens syntaxiques.

L'étude des liens syntaxiques occupe une place très importante dans la théorie de la syntaxe.

Plusieurs grammairiens étudient les liens syntaxiques au niveau des groupes de mots seulement; d'autres estiment que l'analyse des liens syntaxiques doit s'effectuer également au niveau de la proposition.

Les liens syntaxiques sont divisés généralement en deux types de base: la coordination et la subordination qui constituent l'opposition principale dans le système syntaxique.

La coordination est considérée comme le lien entre des éléments grammaticalement égaux, la subordination - comme la domination grammaticale, c'est à dire le lien entre deux éléments dépendants l’un de l'autre. En d'autres termes le lien subordinatif à un caractère unilatéral et le lien coordinatif, un caractère bilatéral.

On estime que c'est la subordination qui joue le rôle principal dans 1'organisaiion syntaxique de la proposition. Dans la grammaire russe on distingue à l'interieur de la subordination, l'accord, la rection et l'adjonction.

1. Les termes “rections accord, adjonction” réunissent des faits syntaxiques de nature très différente. Ainci, on rapport à l’accord  le lien entre  l’adjectif et le substantif  ( une longue nuit), aussi bien que le lien entre le sujet et le prédicat ( les étoiles brillent), l’adjonction est définie comme le rapport du verbe avec l’adverbe (travailler lentement), et l’infinitif (commencer à travailler), quoique certains autres prétendent que le lien subordinatif dans le deuxième cas est plus proche de la rection. Le plus souvent l'adjonction est exprimée à l’aide des prepositions. La notion de rection n’est pas homogène non plus. En outre ce type de lien est traité parfois comme un lien purement lexical et non syntaxique.

Il y a lieu de distinguer, au du niveau de la proposition simple, 3 liens syntaxique: 1) le lien prédicatif; 2) le lien subordinatif; 3) le lien coordinatif.

Le lien prédicatif est la plus important, puisqu’il reunite le sujet et le prédicat dans la proposition à deux termes. Ce lien, qui est souvent considéré comme la coordination ou comme la subordination, s’oppose en réalité à l’une comme l’autre. Il se distingue du lien coordinatif par le fait que le prédicat et le sujet n’ont pas la meme fonction syntaxique: il se distingue du lien subordinatif par son caractère bilatéral (la subordination, comme l’a fait remarqué, est un lien unilateral).

Donc, le lien prédicatif ne peut être ramené ni à la  subordination, ni à la coordination.

Le lien subordinatif étant très général par sa nature grammaticale, se réalise en trios liens syntaxique: attributif, complétif, circonstanciel.

Le rapport  attributif est celui qui réunie le complément attributif au mot qu’il déterminée: le rapport complétif s’établit entre le prédicat et le complement d’objet; le lien circontanciel se réalise entre le prédicat et complément circontanciel.           

Le lien coordinatif se distingue d’une façon très nette du lien subordinatif  aussi bien que du lien prédicatif. A la différence du lien subordinatif, il porte un caractère bilateral. A la différence du lien  prédicatif il ne peut pas former la proposition. Le lien coordinatif se réalise entre les segments ayant une même fonction syntaxique: c’est pourquoi on le définit d’habitude comme un rapport unissant les termes homogènes de la proposition.

Les liens syntaxiques ne peuvent pas être confondus avec les liens sémantiques. Les syntaxiques en vertu de leur caractère abstrait et purement grammatical, se manifestent indépendement du sens lexical des mots ; les rapports sémantiques dépendent d'une manière ou d'une autre de la valeur lexicale des termes. II est évident que les rapports sémantiques sont plus concrets.

Exemple: Les substantifs déterminés désignant des objets concrets admettent facilement des rapports d'appartenance (le livre du maitre), de qualification (une belle robe), la matière (une table de bois). Les substantifs du type nominal actionis réalisent surtout le rapport de sujet ou d'objet (1'arrivée du docteur, la réforme de l'enseignement) qui est impossible avec d'autres classes de substantifs. Le lien circonstanciel réalise d'autres espèces des rapports sémantiques : temporel (il partit à cinq heures), local (il est parti à la gare), causal (il n’a partit pas ) cause de forage. La nature des rapports sémantiques à l'intérieur du lien complétif est différente : on distingue les rapports d'agent d'instrument, de coparticipant et d'autres.

5.4. La phrase complexe ainsi que la proposition simple est une unité syntaxique dont la fonction principaie est de servir de moyen de communication.

La phrase complexe forme un ensemble syntaxique étroitement uni, ce qui la distingue de la réunion de propositions indépendantes autonomes.

Selon V. Gak il у a 3 types de liaison au sien de phrase complexe: la juxtaposition, la coordination, la subordination.

Les prof. Vassilieva et Pitskova estiment que les phrases complexes sont divisées en 2 types de base:

1.  La phrase de coordination : a) avec conjonction; b) sans conjonction.

2. La phrase de subordination: a) avec conjonction; b) sans conjonction.

I. La phrase de coordination.

Les types de phrases de coordination avec conjonction.

II у aura en fr. 3 types essentiels de phrases de coordination: phrase complexe avec les coordonnants copulatifs, disjonctifs et adversatifs.

l) Le rapport copulatif, réalise par coordonnant et, est très abstrait et peut, par conséquant, se compléter et se préciser par des rapports sémantiques plus concrets tels que la conséquence, l'opposition, le temps, la cause. Ex : Je me suis couché très tard et n'est pas encore eu le temps de faire ma toilette.

2) Appartiennent à ce groupe de coordonnants la conjonction simple ou et les conjonctions discontinues ou... ou, tantot... tantot. Ex : Ou il fallait ne rien raconter du tout, ou il fallait tout dire. Tantot il regardait la porte de communication et tantot il regardait sa compagne.

3) Le coordonnant adversatif est la conjonction mais dont la valeur générale dans le plan paradigmatique est celle d'opposition. Ex: J'aime le thé mais vous aimez le café. Le téléphone sormait encore mais le jeune homme ne pensait pas à decrocher.

Les phrases de coordination sans conjonction. Parmis les phrases sans conjonction avec le lien coordinatif les plus répendues sont dont les éléments constitutifs sont en rapport d'énumération. Ex: il s'arreta devant un petit restaurant, fit précipitamment le tour de la voiture pour ouvrir la porte. II se leva, écarta les rideaux, ouvrit les volets.

II. La phrase de subordination.

La phrase de subordination est une unite polyprédicative dont les éléments constitutifs sont liés par le lien subordinatif.

La subordination est exprimée par les conjonctions et les mots conjonctifs subordonnants, et plus rarement, par l'inversion du sujet dans la subordonnées. La linguistique connait plusieurs classifications des propositions subordonnées:

a) la classification fonctionnelle se basant sur la fonction syntaxique de la subordonnée par rapport à la principale;

b) morphologique, qui tient compte de l'antéc1édent de la subordonnée; c) formelle, qui prend en considération la forme des éléments conjonctifs: d) sémantique, partant du degré de 1'autonomie sémantique des constituant de la phrase complexe. Le plus souvent on s'en tient à la classification fonctionnelle qui distingue les propositions completives, circonstancielles et relatives. Chacune de ces catégories pose ses problèmes concernant le classement, 1'organisation formelle et la sémantique des subordonnées. Ex:  Je pense qu'il vient a temps. Je ne crois pas qu'il soit en retard.

Questions sur le thème étudie.

1. Queles sont les marques essentielies de la proposition simple en français?

2. Quels principes du classement de la proposition simple en francais?

3. Quelle est la notion des liens syntaxiques?

1. Quelle est la classification des phrases complexes en français?

2. Caracterisez les types de phrase de coordination en français?

3. Quel est le probleme de phrase de subordination en français moderne ?

Littérature

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